Première revue du 1. peloton par le Leutnant Dricht

Les hommes s'alignaient face à leur chef, le Leutnant Dricht. Le Major Zeit le prit par le bras, l'entraînant à l'écart.

"-Was ist los Alexander ? Qu'est-ce que tu fais ? Fais pas le con ! Ils ont été trop lents ? La 1. section et la section de commandement font 50 pompes, se prennent un sermon et on en parles plus ! 3 jours ? Tu crois qu'on a que ça à foutre de payer un mec pendant 3 jours à rien foutre qu'à se curer les ongles de pieds et à graver son nom sur les murs ? Moi il me faut une équipe qui soit entraînée. Si von Schoulsen ne fait pas son job, on nomme Kempf chef de section. Mais pas en 20 minutes ! Si quelqu'un n'assure pas, on attends au moins une journée, histoire de voir si c'est pas juste une erreur qu'il ne refera plus. Laisse von Schoulsen diriger la section pendant les entrainements de cet après midi. Si il chie, passe dans mon bureau, et Kempf prends la section. T'inquiète pas Alexander, tu a bien réagis, mais tout le monde a une deuxième chance, le premier jour. A partir de demain, ceux qui merdent dégagent. De toute façon, il fera ses 3 jours, sinon ton autorité en prendra un coup. Mais après. Malgrès tout, tu a suivi mes consignes, bien joué."

me tournant vers von Schoulsen

"-Unteroffizier ! Que se passe t'il ? Vous ne savez pas maitriser une simple section ? Je ne vous avais pas donné ce poste par hasrad, j'avais de bon echos à votre sujet ! Mais vous me decevez, von Schoulsen ! 20 minutes, est-ce si peu ? Je compte sur vous pour me montrer mieux que ça à l'entrainement ! Je n'hésiterais pas à me defaire de tout élément non efficsse, même le Leutnant, si il n'était pas assez bon ! Soyez plus présent auprès de vos hommes, Unteroffizier, sinon, la section passe à Kempf !"

Me retournant, je filais vers mon bureau pour observer la suite........

Tandis que le Major Zeit s'éloignait, je me tournai vers les quatre sections. Je repensai à ce qu'il m'avait dit. "La 1. section et la section de commandement font 50 pompes, se prennent un sermon et on en parles plus !". Comment aurai-je pu faire payer des hommes à cause de l'incompétence de leur supérieur ? Enfin... J'y avais peut-être réellement été trop fort. Zeit avait toujours été de bon conseil.

- "Soldats ! Ravi de voir que les hommes de la première section se sont enfin mis à ma disposition. Si je vous ai fait dêpécher, c'était pour savoir avec qui je combattrai et sur qui je devrais compter au combat. Malgré les galons qui ornent mes épaulettes, je n'en reste pas moins un homme, un soldat."

Je fis une pause. Les hommes étaient au garde-à-vous. Von Schoulsen était à sa place, devant les gars de la première.

- "C'est pourquoi, je vous demande de vous présenter brièvement. Il faudra faire vite, l'heure tourne ! Soldats, je vous écoute".

Chacun des hommes de la quatrième, troisième et seconde prirent la parole et se prèsentèrent en quelques mots. Vint le tour de la première.

[HRP: fin de la présentation dimanche midi.]

Nous étoins tous au garde-à-vous, lorsque le Major déboulla dans la cour à grandes enjambées. Il alla directement vers Dricht qui le poussa à l'écart. De la où nous étions, nous ne pouvions rien entendre de se qui se disait. Sans doute, le major n'était pas satisfait de la décision prise par le leutnant et le lui faisait savoir. Ensuite, Zeit s'adressa à Von Schoulsen et lui passa un savon.
Dricht était apparement revenu sur sa décision car l'unteroffizer réintégra les rangs. Comment pouvait il le réintégrer ? Il n'avait même pas était capable d'executer un ordre simple. Je craignais pour ma vie. Qu'arrivrai t il si nous étions au combat, confronté à l'ennemi, avec un homme tel que lui. Je doutais sur les capacités de notre chef à commander. Il risquait de nous envoyer à la mort...

Le Leutnant se tourna vers nous et parla d'une voix forte et clair. Il nous ordonna de nous présenter afin de faire plus ample connaissance. Nous nous connaissions. Il avait été médecin à Weisskrich, moi et un autre gars l'avions aider un transformer une école en poste de secours...

Les hommes de la quatrième section se présentèrent. puis de la troisième, jusquà notre tour. Le füsilier Glaser commença puis se fut à moi. Je m'avançai alors d'un pas :

"-Sven Adler, Gefreiter. Appartient à la premier section du premier peloton, herr leutnant. Né près de Munich. Mon père est mort au combat sur le front de l'ouest, dans la Somme.
je me suis déjà battu, à Weisskrish, et j'ai reçu la croix de fer de 2ème classe, Herr Leutnant."

Le leutnant hocha la tête d'un air approbateur. Je rentrai dans le rang et un autre camarade s'avança.

Les hommes des quatres sections étaient au garde-à-vous, devant le leutnant Dricht, avec leurs chefs respectifs.
Je vis qu'un autre unteroffizier commandait maintenant le 1. abteilung, Kempf, je crois.
Un bruit de martelement de bottes, préssé, me fit tourner la tête, et je vis le Major Zeit se diriger vers le Leutnant, le prendre à part et l'emmener plus à l'écart.
Les autres hommes ne pouvait rien entendre mais de par ma position, je puis saisir quelque bribes de l'entretient.
Apparement, le Major ne partageait pas l'avis du leutnant sur la sanction prise à l'encontre de Schoulsen, avis que je partageait également.
Cependant, je pus voir que le leutnant et le major avait l'air de s'estimer et de bien se connaitre tout les deux, bon pour le bataillon, ça!
le leutnant voulut alors que nous nous présentassions chacun notre tour.
Adler ayant fini sa présentation, je pris la parole d'une voix forte, afin que tous puissent m'entendre:

-Sanitäts-unteroffizier Baron von Waldenheim, Herr Leutnant! J'ai 35 ans et 14 ans d'ancienneté dans la Wehrmacht, j'ai fait ma thèse en médecine, 'du coefficient de tiffaud dans l'oedème pulmonaire', je suis donc docteur en médecine .Mon père sert dans la Kriegsmarine, dans un U-Boot, et 5 de mes 8 frères dans la ReichsWerh.
J'ai fait mes études à München, et je suis venu casser du Bolchevik, Herr Leutnant!

-Avez vous une expérience du combat, Unteroffizier?me réplica-t-il

-Nein Herr Leutnant, j'était interne dans le Berliner Krankenhaus pendant la guerre d'espagne et en congrès pendant les Anschluss, Herr Leutnant!lui repondis-je. Craignant qu'il me prenne pour un planqué, j'ajoutais:

-L'état major ne m'a pas laissé participer, en m'indiquant que je serais plus utile en representant la wehrmacht qu'en allant au combat, Herr Leutnant!

Je me reculais alors de deux pas règlementairement, et passais la parole à mon voisin.

J'etais debout, a coté de la premiere section, quand le Major arriva a grand pas sur la place d'arme, il prit le Leutnant Dricht par le bras et l'enmena au loin, je resta toujours au garde a vous, sans detourner le regard. Apres avoir parler a Dricht, le Major retourna a son bureau, et le Leutnant alla parler a Von Schoulsen, et a ce qu'il parrait, il etait revenu a la tete de la section...

**Quoi ? Lui qui revien a la tete ? J'espere qu'il sera meilleur au champ de bataille, car si il fait encore une gaffe comme aujourd'hui, on peu dire a dieu a l'Allemagne car on ne pourra plus la revoir, ce qui nous faudrais, c'est un commandant comme Hopner, ou Geinberg, qui ont mener la victoire a Weisskirch....**

Apres quelques minutes, le Leutnant demanda de nous présenter, tout les soldats des autres section se presnterent, puis fit le tour de la notre, quand ce fut mon tour, j'avancea puis je dit a haute voix...

"-Unteroffizer Werner Kempf herr Leutnant, je suis né dans la petite ville de Dresden, j'ai deja eu l'experience du front, plus précissement a Weisskirch, j'ai été décoré de la Croix de fer 2eme Classe, Mon Leutnant..."

Je recula de deux pas puis je me remis au garde a vous...

Quand se fut mon tour, j'avançais d'un pas, et je transpirais de stress, en pensant à tous les regards posés sur moi, et à toutes les oreilles qui entendaient ceci:
"Mon nom est Stumbach Tobbias, Herr Leutnant. J'ai tout juste 18 ans. Je me suis engagé dans l'armée après avoir servi dans la jeunesse hitlèrienne. Je n'ai jammais été envoyer au front.
Puis je me remis en rang[/i]

Toute les sections etaient sur la place d'arme au garde à vous, quand nous vîmes le Major traverser la cour à grand pas acompagné de von Schoulsen. Il attrapa le Leutnant par le bras et s'eloigna...Nos ne pouvions rien entendre, le Major ne semblé pas encolere contre le Leutnantmais contre von Schoulsen...
A notre grande surprise revint et reintegra les rang
*Scheisse pourquoi il revient, il ne sait même pas executer un ordre simple....même les plus jeunes des Hitlerjugend sont plus doués que lui...*

Aprés que von Schoulsen se mis à sa position le Leutnant nous ordona de nous presenter. Aprés la quatrième, troisième et seconde section se fut notre tour...se fut mon tour apres un petit jeune: Stumbach je fis un pas en avant:

"Horst Müller, né le 19 Octobre 1906 à München, membre du parti depuis 1922, rejoint la Jugendbund avec laquelle je participe à la bataille de Coburg, la Sturmabteilund en 1926 et atteind le grade de SA-Sturmführer, devient instructeur chez les Hitlerjugend et je commence une carriere de boxer. Participe à la guerre d'Espagne mais en ne rejoignant pas l'armée puis s'engage dans la police. Insigne des sports SA en or, Blutorden et diverse decorations du parti."

Je reffit un pas mais cette foix en arriere et reintegra le rang

Son tour arriva ...il fit un pas en avant..Il semblait à l'aise, c'est dans son école d'officer qu'on lui a appris..

Hans von Gröbel, 26 ans , je suis entrer dans une école d'officier, ayant rater plusieurs fois ce cap, je suis revenu chez moi, à Berlin... Très bonne compétence en sniper ..

Puis tout aussi décontracté mais pas trop pour ne pas paraitre sur de soi, ce qui était totalement faux d'ailleurs ...Il fit ensuite un pas en arrière en réintégrant les rangs

Après que tous les hommes se soient présentés, les chefs de section en firent autant. Puis ce fut mon tour.

- "Et bien, on dirait que c'est à moi maintenant. Je suis le Leutnant Dricht et je suis engagé depuis près de dix années. J'ai fais mon baptême du feu en tant que pilote dans la Luftwaffe puis ai servi comme médecin sur le front. J'ai combattu avec certains d'entre vous et en suis fier."

Je fis une courte pause puis repris :

- "Merci soldats. Maintenant, vous vous connaissez tous. Ayez l'honneur de servir le Reich, serrez vous les coudes et ne vous laissez jamais tomber. Devenez plus que des soldats, devenez des frères. Grossdeutschland est une famille, faites lui honneur, ici à la caserne et sur le champs de bataille."

Après une courte pause, j'ajoutai :

- "Garde-à-vous !"

Comme un seul homme, les soldats du peloton se mirent au garde-à-vous. J'esquissai un sourire de satisfaction qui disparut instantanément.

- "Unteroffizier Von Schoulsen, sortez du rang ! Vous vous êtes montré incapable de faire respecter un semblant de discipline et n'avez pas obéit à un ordre direct. Je vous ai commandé à trois jours d'arrêts. Le Major Zeit est intervenu en votre faveur et c'est grâce à lui que vous devez d'être présent à cette revue. Néanmoins, pour l'heure, ma sanction tient toujours et vous ferez vos trois jours. Unteroffizier Kempf vous prenez le commandement de la première section jusqu'à la levée de sa sanction."

Je les observai. Certains avaient l'air de me juger trop strict. Sans doute étaient-ce des bleus qui n'avait jamais su qu'au combat, aucune erreur n'était pardonnée. Je regardai ma montre. Il était midi moins cinq.

- "Premier peloton ! Rompez les rangs. Quartiers libres jusqu'à 13h00."

Tandis que les hommes se rendaient dans les dortoirs ou à leur mess remplir leurs estomacs, je regardai Von Schoulsen retourner au trou, flanqué par les trois même soldats. [HRP: fin de la sanction de Von Schoulsen mercredi 21.]

Ceci fait, je me dirigeai à mon tour vers le mess des officiers.

Nous etions tous au garde a vous, quand tous les soldats se présenterent, ce fut le tour du Leutnant Dricht, il renconta ses antécedent dans la Luftwaffe, puis dans la HEER en tant que medecin, apres ce petit discours, il nous ordonna de nous mettre en position garde a vous, puis il afficha un petit sourire, il dit ensuite que la sanction de Von Schoulsen tenait toujours, donc le commandement de la 1ere Section revint a moi jusqu'a ce que l'Unteroffizer soit sortit du trou, je fis claquer mes bottes, puis je dis ensuite...

"-Merci herr Leutnant, aucun probleme mon Leutnant"

Je claqua encore mes bottes puis je resta debout, comme tout les autres, quand il annosa qu'il y avait une permission jusqu'a 13 heures...

**Super, on va pouvoir ce reposer un peu puis se bourrer l'estomac**

J'ordonna mon premier commandement a la 1ere Section...

"- 1ere Section ! Position Repos, Demi-tour....tourner ! Quitter les rang....Marche !"

Les soldats de la 1ere Section s'exécuterent, puis les voix des autres commandant des autres Sections se firent entendres aussi...


1ere Section :