A 5km du camp.

"-C'est là tournez à gauche."


Le second lieutenant O'Brady regardait une carte pour retrouver ou se situer le camp, il indiquait en même temps les indications à son chauffeur.
Le convoi était constitué à l'avant d'une vielle voiture française réquisitionné à Calais conduite par le chauffeur habituel du second lieutenant O'Brady.
Le vieux tacot était suivit de quatres camions dont les trois premiers transportaient dans l'ordres les trois sections du peloton et le quatrième en dernière position transportés, le matèriel et les munitions.

"Embarquez ! Suivez-moi"

Voici le premier ordre que je donnai aux troupes. Fraichement émoulu de Sandhurst, la prestigieuse école britannique d'officiers, la 50th Division était ma première affectation. Nous avons subi une attaque d'U-Boot lors de notre voyage aller. Quelle connerie ! A peine 30 kilomètres à franchir de Calais à Douvres et nous perdons la plupart de notre section. Saloperie de guerre ! Et l'état-major qui ne nous laisse pas de temps pour reformer l'effectif complet de la section ! Foutus planqués ! Résultat, nous nous retrouvons avec la première section incomplète. Nous étions en plein sur la trajectoire de la torpille et elle ne nous a pas raté...
Dire que j'étais à ce moment-la sur le pont et je n'ai rien vu arriver !
Le Cargo a coulé lentement, et cela à permis au reste des survivants d'être sauvé lentement par les corvettes d'escorte.

Une fois arrivé à Calais, même pas une journée de repos ! On nous envoie directement en camp de transit, en attendant notre dernière affectation. Bref, encore deux semaines d'entraînement environ.
Un convoi nous attendait à Calais et nous dûmes réquisitionner une vieille Citröen française. Les trois sections avaient embarqué assez rapidement, malgré la perte de certains des leurs.

Une vieille baraque croulante apparaît au loin, et des tentes sont installées à côté. Ca y est, nous sommes, la guerre commence enfin pour la 50th Div.

Arrivés, j'ordonne à Shepard de former les tentes et j'attends l'arrivée d'un supérieur afin de recevoir de futurs ordres.

Une voiture blindée britannique arriva sur les lieux.
Un officier descenda de la voiture ordonnant à son conducteur de rester dans la voiture.

Le lieutenant-colonel Clain demanda à un soldat de le conduire à l'officier le plus gradé sur les lieux.
Le travail avait déjà commençait, l'ancien bataillon français qui était stationné ici avant avait laissé quelques matériels, le terrain d'entrainement était deux mètres plus loin à l'ouest et l'armurerie était le vieux batiment qui fallait à tout prix rénover et agrandir.

"-Bonjour Lieutenant O'Brady."
Le second-lieutenant se mit au garde à vous.
"-Mon colonel!"
"-Repos"
"-Je vois que vous faites du bon boulot, voici les plans pour réaménager le camp. L'armurerie seras au centre du camp, au sud-est vous y installerais la compagnie de votre supèrieur le Capitaine James Clayton.
au nord-est, la 2ème compagnie.
Au sud-ouest la 3ème et au nord-ouest la 4ème, le terrain d'entrainement est censé ètre en bonne état il est à deux cent metres à l'est du camp derriere cette butte."

Mike Clain montra la butte du doigt.

"Quand, est-ce arriveras le Capitaine Clayton, quand est t'il du QG?."
Demanda O'Brady.

"Clayton, je ne sais pas, quand au QG, il est posté 2km au sud du camp. Comme vous le savez Lille se trouve au nord-ouest de votre position à 10km. Pour le reste, vous vous débrouillez comme vous vous l'entendez, c'est votre première affectation et puis de toute façon un officier plus gradé que vous ne devrez pas tarder à arriver avec sa compagnie."


Clain retourna à son véhicule et reparti deux km au sud.

Shepard regardait le camp, d'un air pensif, en se massant la nuque. On n'avait pas encore vu un seul Allemand que j'avais perdu cinq de mes hommes : le Lance Corporal Bayliss, Unsworth, Burke, Caulfield et Towler. Des jeunes bleus... On ne se connaissait pas, de quelle région venaient-ils ?
Ca n'a plus d'importance maintenant, ils nourrissent les poissons désormais.

Voilà nos quartiers, ça n'a rien d'un camp de vacances... Ces satanées grenouilles auraient pu prendre un peu plus soin de leurs infrastructures ! Ils se sont vus trop beau après 1918. Shepard renifla. Nous aussi.

Bon c'est pas tout ça, mais le second-lieutenant O'Brady m'a demandé de monter les tentes.

Après avoir passé la consigne auprès des autres chefs de section, Shepard réunit ses hommes.- "Bon les gars, si vous ne voulez pas dormir à la fraîche, il va falloir s'activer un peu. Ce qui s'est passé dans la Manche, c'est derrière nous... Gardez ça en tête pour plus tard, pour venger nos gars..." Shepard toisa les soldats pour bien leur faire comprendre le message.
- "Alors voyez-vous, l'armée française a l'amabilité de mettre à notre disposition de confortables tentes", tout en parlant, Shepard désigne des toiles beiges roulées près du baraquement. "Ce sont de grandes tentes, une par section. J'aimerais qu'on finisse de monter la nôtre en même temps que les autres sections. Malgré notre handicap."

Shepard se pencha et ramassa un objet et le montra à tous :
- "Qui peut me dire ce dont il s'agit?"
- "Un maillet, Corporal", lança McDonnery.
- "Bien soldat, tu me sembles tout indiqué pour superviser cette tâche. Allez les gars, on écoute le spécialiste du camping!"

Shepard tendit le maillet à Jerry en souriant.

jhon arriva sur un char..il regarda le camps , il ne c'etais jamais battu aux par avant,il descendit du char..pour continué a pied..

il s'aprocha des homme qui etait entrain de monté le camps..

besion d'aide?

[Edit MJ: Si tu aurais lu le scénario tu aurais compris que tu était dans le camion avec ta section et la division n'a pas de char, et encore moins il n'y a pas eu de combat. Je suis désolé mais ce post est refusé jusqu'à ce que tu l'edit pour une version plus juste]

Post à ne pas prendre en compte

Apres avoir débarquer du camion il alla aider les autres à monter les tentes il décida de rester silencieux pendant qu`il alla monter les tentes.J`ai de la chance d`avoir survécu dans le navire,une chance que j`était proche de l`escalier qui menait sur la passerelle,bon je ferais mieux d`oublier sa.Il commenca à monter la tente de sa compagnie vu qu`il n`avait pas tres envit de dormir sur le sol se soir alors il se dépêcha à monter la tente avec l`aide des autres soldats.Il regarda autour de lui,tous semblait beaucoup plus vieux que lui.Apparament je suis le seul jeune de cette compagnie on dirait.Il continua à monter la tente.

Citation :

Aidez à monter les tentes !

C'est l'ordre que nous avons reçu a peine descendu du camion, apres le débarquement, une marche forcée jusqu'a trouver un camion, nous dvions monter ces foutues tentes c'en était assez. J'entendais un soldat à coté dire:

Citation :

Engagez-vous, rengagez-vous qu'ils disaient!

Enfin, j'allais goûter à un repos bien mérité et bientôt rentrer chez moi.. peut-être.

Pour un premier voyage en France et bien l'ambiance été des plus morose... Lors de la traversé de la Manche, le navire a été attaqué par une saleté de U-boot... La quasi-totalité de l'effectif est mort sur le coup... Et maintenant nous, les survivant, devons monter notre camp alors que nous avions les fesses en compote à cause de ce satané camion... Face au Corporal il écouté attentivement ce qu'il disai, et eu la bonne idée de ne pas répondre à la question de celui-ci voyant le soldat ayant répondu à sa place être le superviseur pour monter la tente dans le même délais que les autres sections. Il fallu deux heures à la petite troupes pour monter la tente et qu'elle sois solidement fixé, sa n'avais pas été un travaille facile avec le peu d'homme présent. Se reculant pour voir l'oeuvre terminé il lanca au Soldat qui supervisé les travaux:

- " Et bien... On a quand même réussi à la monter cette fichue tente... Au faite, je sais pas si je me suis présenté, William O'Connelle et toi? A part être spécialiste pour monter les tentes, c'est quoi ton nom?"

William avais fais quelque pas dans la direction de Jerry Mac Donnery en lui tendant la main.

Son regard se passait sur l'oeuvre achevé que lui et la section avaient fait. Maintenant, ils avaient une tente et bientôt, ils pourront y dormir et par la même occassion, inviter les infirmières de la Division dans leur modeste foyer, loin des regards des parents... Jerry riait intérieurement à cette remarque, certes déplacé mais si drôle pour un Private de son espèce... Surtout que les infirmières ne sortaient pas avec les Privates... C'est aussi connu que c'étaient les aviateurs quia vaient la côte et pas le Private de l'armée de terre... Allez savoir pourquoi?
Puis il tourna la tête que O'Connell s'approcha de lui et l'interpella. Il savait qu'il était originaire de l'Irlande, du Nord s'il avait compris les brides de conversations durant cette douloureuse traversée du Channel. Il se présenta et immédiatement après il tendit la même vers Jerry. Par réflexe, il leva sa main droite et serra la main de son compagnon de Section. Et il ajouta d'un ton amical:

"Jerry Mac Donnery, pour te servir... Mais je ne suis pas un spécialiste du montage de tente!" Un sourire s'affichait sur son visage de jeune homme, quand il finit la phrase.

Le Corporal Shepard examinait la tente d'un oeil critique, faisait les cent pas sans un mot, se contentant parfois d'émettre un énigmatique grognement devant un piton, un noeud ou une corde tendue. Il s'arrêtait soudain et secouait comme un diable tel pan de toile, tel noeud. Il finit par revenir devant les gars de la section et les toisa d'un oeil noir. Puis un sourire fleurit sur son visage.

- Ouais, c'est pas mal pour des bleus. Beau boulot les gars, toi aussi Jerry. Bon vous pouvez rentrer dans ces tentes et vous installer. Choisissez bien votre place, ça sera votre récompense... Mais ne vous étalez pas de trop, ou je me ferais une place en vous bottant le cul ! Les hommes éclatèrent de rire. Je vais aller prendre nos ordres.

Tandis que les soldats rentraient leur barda sous la tente, Shepard se mit en quête de O'Brady. Ce dernier attendait à l'entrée du camp.
- Les tentes sont prêtes, mon lieutenant. Votre peloton attend vos ordres.

Quand il vit le Corporal Shepard tourné autour de la tente comme un prédateur sur sa pauvre victime. Jerry sentait la pression et surtout les problèmes s'il avait mal fait son boulot. Et lui et les autres auraient du recommencer ce qu'ils avaient fait depuis plus de 2 heures. Et il ne voulait pas refaire cela, en tout cas pas avant d'avoir dormi et d'avoir goûter à la célèbre cuisine militaire, même s'il en mangeait depuis qu'il s'était engager en septembre 1939. Et c'était pas la cuisine de sa mère, ni celle de la cantine de la mine qui avait un goût de charbon... Mais c'était une autre histoire.
Quand il vit le Corporal Shepard se diriger vers eux, Jerry se raidit aussitôt et fixa, sans essayer de le regarder le visage de Shepard. Quand il sourit, effacant le visage dur de Shepard, à la section, son corps se relâcha sous les compliments. Certes un peu autoritaire, de leur chef de section. Et quand il finit sa phrase, terminé par une réplique comique, toute la section se mit à rire. Et aussi tôt il reparti en direction du QG de la Compagny. Et il avait le sourire le Corporal, quand Jerry le regarda chercher les nouveaux ordres.

Ecoutant les ordres, il pris au sol ses affaires. Son havresac, la sacouche de son respirateur, les sacouches à munitions qui étaient vide de toutes balles et son casque qu'il avait enlevé pour monter la tente. Il pris son casque en acier, en premier pour le placer au sommet de son crâne et il souleva le havresac et les sacouches par sa main droite. Et suivant le reste de la section, s'engouffra vers l'entrée de la tente et il s'approcha de O'Connell. Il lui dit à quelques centimètre de son interlocuteur:

"Tu es de quel coin? Je suis de Birmingham, où en tout cas de ses environs près des mines de charbon! En tout cas, j'espérais servir mon pays avant de me faire tuer par une torpille... Ouai... Mais en tout cas, on pourra répliquer quand ils voudront nous tirer! Tu ne crois pas O'Connell?"

Le Lieutenant O'Brady venait de terminer d'expliquer au commandant du camp, qui venait d'arriver, ce qui été déjà accomplis que le Corporal Shepard arrivit.

- Les tentes sont prêtes, mon lieutenant. Votre peloton attend vos ordres.
- Très bien Shepard, dites à vos hommes et aux autres chefs de sections du peloton que vous avez une heure de repos pour décorer votre tente.

O'Brady regarda sa montre.

- Oui, dans une heure vous irez à la soupe, c'est une roulotte à l'extrémité ouest du camp. Pour l'instant rien n'est encore installé mais demain soir vous mangerez dans une grande cabane assis confortablement ne vous en faites pas.

Apres avoir fini de monter la tente il entra dans la tente et alla prendre sa place,il décida de se reposer.

-Je pense que je vais me plaire en France..

Un petit sourire apparut sur son visage,puis il regarda les autres soldats qui c`était prit une place,il avait hâte d`être sur le front pour combattre les allemands mais avant il devait montrer dont il était capable avaec une arme à feu.

Il prit sa gourde d`eau et bu une gorgé et la rangea.

Wendell salua l'officier et tourna les talons pour rejoindre le peloton. Il visita chacune des tentes et mit au parfum les sous-officiers à propos des derniers ordres de O'Brady.

Ensuite, il écarta d'un coup sec les pans de toile de l'entrée de la tente de la 1ère section et découvrit ses hommes en train de déballer leurs paquetages. McDonnery rangeait méthodiquement ses affaires en parlant avec William O'Connell, tandis que Miler reposait sa gourde le sourire aux lèvres. Le sourire exalté des bleus qui idéalisent et glorifient la guerre... Inutile de lui passer un savon, il désenchantera bien assez tôt. D'ailleurs Wendell n'avait pas vraiment connu de batailles rangées avec de grands mouvements, il n'avait essuyé le feu que dans les rues sombres de Belfast ou Londonderry.

- Bon les gars, dans une heure une cantine mobile nous donnera notre tambouille à l'ouest du campement. Sortez vos écuelles et astiquez-les, je mettrais ma main à couper qu'on aura le droit à du porridge ou toute autre bouillie qui vont nous faire regretter d'avoir quitter nos mères. Ils installeront demain un réfectoire en bonne et due forme... enfin plus ou moins, finit Shepard en haussant les épaules.

-"Je suis de Londonnery en Irlande du Nord... Mais avant de venir m'engager j'ai passé quelques années à Londre..."

Il sorti le peu d'affaires qu'il avais et quelque photos, et les rangea soigneusement dans sa partie réservé dans le dortoir. Il semblait chercher ses mots, puis dit finalement:

-"En ce qui concerne... Nos camarade qui ont péri dans la Manche... C'est tragique, ils se sont engagés et ils ont même pas eu le temps de servire la Couronne qu'ils sont mort. Sans voir un ennemis, sans avoir une utilité..."

Il lanca un petit livre sur son Lit si installa et commenca a chercher une page.

-"Sa me révolte... Mais d'un autre côté il faut se dire que on est en face d'une nouvelle guerre... Qu'est ce que les Nazis ont put inventer nous tuer... Au faite l'expert, tu t'es engagé pourquoi?"

Puis il se remit a lire son livre en attendant une réponse de son interlocuteur.

le major eliot arriva et se mit au garde a vousdevant le chef de section "monsieur le camp et serieusement endommagé il nous faudra une semaine pour réparé et j ai trouvé 4 mitrallieuses et un enorme stoke de munitions et nous attandons vos ordres